La base nazie dans l’Antarctique – une nouvelle menace
Qui vit dans l’Antarctique, à part les manchots? Y a-t-il une possibilité de vie humaine sur cette terre glacée?
La Seconde Guerre mondiale a-t-elle été la dernière grande guerre sur terre, ou devons-nous craindre la venue de la troisième?
La menace naissante des nazis qui ont échappé à la justice il y a de nombreuses années, est-elle réelle?
Analysons les faits.
Quand tout a-t-il commencé?
C’est le 26 août 1946 que commence l’Opération Highjump. Le contre-amiral de la marine américaine Richard E. Byrd a organisé une campagne militaire appelée Task Force 68, dirigée par le contre-amiral Richard H. Cruzen. Ce n’était pas une simple campagne. Ce ne fut pas seulement une expédition scientifique.
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L’opération Highjump a été la plus grande expédition jamais effectuée en Antarctique, comprenant plus de 4700 hommes, avec 33 avions, sur 13 navires, y compris le brise-glace Northwind, un porte-avions (USS Philippine Sea) et un sous-marin (USS Sennet) (Byrd, 1947; Marine 1947, Sullivan 1957, Bertrand 1967, 1971, Rose 1980, Mills 2003).
Comme on pouvait s’y attendre, la Marine américaine a publié un rapport sur les objectifs de l’opération Highjump.
Le voici:
- Former le personnel et tester des équipements dans des conditions glaciales;
- Consolider et étendre la souveraineté des États-Unis sur la plus grande zone praticable du continent antarctique (Ceci a été publiquement nié comme objectif avant que l’expédition prenne fin);
- Déterminer la faisabilité de l’établissement, du maintien et de l’utilisation des bases dans l’Antarctique et enquêter sur les sites de base possibles;
- Développer des techniques d’établissement, de maintien et d’utilisation des bases aériennes sur la glace, en accordant une attention particulière à l’applicabilité ultérieure de ces techniques aux opérations dans le Groenland intérieur, où les conditions sont comparables à celles de l’Antarctique;
- Améliorer les connaissances actuelles sur les conditions hydrographiques, géographiques, géologiques, météorologiques et électromagnétiques dans la zone;
- Objectifs supplémentaires de l’expédition Nanook. (L’opération de Nanook était un équivalent plus faible menée au large de l’est du Groenland.)
Notez que ce que vous venez de lire ci-dessus est le rapport officiel, documenté. C’est ce que le gouvernement américain voulait nous faire croire
A la fin de Décembre 1946, le groupe occidental et oriental des navires ont atteint leur point de destination.
La version officielle du rapport ne dit rien sur le fait que l’amiral Richard E. Byrd et son parti ont été confrontés à une résistance farouche.
Ils ont été attaqués par des OVNI, et ont été forcés de battre en retraite. Par-dessus tout, le navire Pine Island n’est pas retourné de cette expédition.
Le mercredi 5 Mars 1947, l’article suivant est paru dans l’édition du journal El Mercurio du Chili:
L’amiral Richard Byrd, a déclaré aujourd’hui que les Etats-Unis doivent prendre des mesures de protection contre l’invasion possible du pays par des avions ennemis, en provenance des régions polaires.
L’amiral a expliqué qu’il ne cherchait pas à faire peur à personne, mais la dure réalité est que dans le cas d’une nouvelle guerre, les États-Unis pourraient être attaqués par des avions en provenance des pôles.
Cette déclaration a été faite lors de la révision de sa propre expérience polaire, dans une interview exclusive avec International News Service.
En parlant de son expéditon récemment terminée, Byrd a déclaré que le résultat le plus important de ses observations et de découvertes est l’effet potentiel que ces derniers ont par rapport à la sécurité des États-Unis.
La vitesse fantastique avec laquelle le monde se rétrécit – a rappelé l’amiral – c’est l’une des plus importantes leçons apprises au cours de mes recherches récentes en Antarctique.
Je dois avertir mes concitoyens que le temps où l’on pouvait trouver refuge dans notre isolement, en se fondant sur le fait que les distances, les océans et les pôles sont la garantie de notre sécurité, a pris fin.
L’amiral a dû donner quelques interviews, soulignant son inquiétude. Mais ce qui lui est arrivé ensuite?
L’amiral Richard Byrd a été hospitalisé et n’a pas été autorisé à tenir d’autres conférences de presse.
Cependant, en mars 1955, il a été placé en charge de l’Opération Deepfreeze qui faisait partie de l’Année Géophysique Internationale, 1957-1958, de l’exploration de l’Antarctique.
Il est mort peu de temps après, en 1957. Plusieurs ont supposé qu’il a été assassiné…
Alors, qui était le coupable de l’incident avec les soucoupes volantes?
Qui possédait ces objets qui ont arrêté Byrd?
L’Allemagne a été apparemment défaite, et il n’y avait aucune preuve que le nouvel ennemi émergent, la Russie, avait certainement de telles technologies supérieures. Ils étaient, comme les États-Unis, au bord de l’âge de la fusée, et totalement dépendants de la technologie et de l’expertise capturée en Allemagne à la fin de la guerre. Il n’y avait aucune autre menace connue qui pût expliquer l’invasion de l’Antarctique par les États-Unis, ni le développement d’un engin qui pourrait « voler d’un pôle à l’autre avec des vitesses incroyables ».
Voici où ça devient intéressant.
À la fin de la guerre, les Alliés ont déterminé que 250 000 Allemands étaient portés disparus. Et cela, même en tenant compte des pertes et des décès.
Ce serait une base de population pour une colonie naissante, qui aurait pu fournir le degré essentiel de compétences, d’expertise et de main d’œuvre pure pour une base industrielle de tout type, sans parler de la production, même aux normes actuelles, de la technologie extrêmement élevée.
Tous les chercheurs d’objets volants non identifiés sont évidemment conscients de la multitude de rapports concernant les observations de «soucoupes volantes» avec des croix gammées ou des croix en fer sur eux, des «étrangers» parlant l’allemand, etc.
La plupart ont également entendu parler d’enlèvements de personnes, piégés dans les bases souterraines avec l’emblème de la croix gammée sur les murs.
Un certain Alex Christopher, l’une des victimes qui a pu échapper, a vu les reptiliens et les nazis qui travaillaient sous terre profonde, sur des navires anti-gravité.
Puis, pendant longtemps encore, jusqu’à les années 1960, des rumeurs ont courrus sur des rencontres avec les ovnis, dont l’équipage parlait l’allemand, ou avec un accent allemand fort.
Conclusion
Ainsi, avant la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne s’est approprié d’un vaste territoire en Antarctique sur la Terre de la Reine-Maud, lui donnant le nom de la Nouvelle-Souabe.
Tout le long de la guerre, et surtout depuis 1943, des dizaines de sous-marins allemands ont été envoyés en Antarctique.
On suppose que les Allemands ont trouvé sous la couche de glace, un système de cavernes et des cavités souterraines où la température ne descend pas en dessous de 18 degrés Celsius.
Là, ils ont construit des villes entières, et ont amené de l’Allemagne tous les grands scientifiques ainsi que de la technologie de pointe de l’époque.
A la fin de 1947, quelques mois seulement après le fameux incident de Roswell, le Secrétaire de la Marine Dzheyms Forrestol a envoyé un groupe naval dans l’Antarctique.
L’objectif principal de l’opération « High Jump » a été de trouver la base nazie souterraine, construite lors de la Seconde Guerre mondiale.
Les Etats-Unis, avaient de l’espoir de capturer ces réalisations scientifiques très avancées de l’Institut Ahnenerbe, dont il n’en restaient que des rumeurs et quelques documentaires.
Cependant, les Américains ont rencontré une résistance assez redoutable, en perdant dans cette expédition des navires, des avions, et des gens.
Quel mal les Américains ont-ils rencontré en Antarctique?
Qui a aidé les nazis à s’installer sur le continent glacial?
Devrions-nous craindre, dans un avenir proche, lèarrivée du jour où la nouvelle civilisation décide d’émerger des profondeurs du pôle Sud, et envahir la Terre? ..
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